Location
-
Jardin des Tuileries, Rue de Rivoli, Paris, 75001, France
Open hours
Accès au Jardin des Tuileries
- Accès libre
- Horaires d'ouverture: Du dernier dimanche de septembre au dernier samedi de mars : tous les jours, de 7h30 à 19h30. Du dernier dimanche de mars au dernier samedi de septembre : tous les jours, 7h-21h. Juin, juillet et août : tous les jours, de 7h à 23h. L'évacuation du public commence 30 minutes avant l'heure de fermeture.
- Nocturne
Jusqu'à 23 heures en juin, juillet et août.
Access
Jardin des Tuileries
Place de la Concorde
75001 Paris
- Métro - Station Concorde (Lignes 1, 8 et 12), Station Tuileries (Ligne 1)
- RER - Musée d'Orsay
- Bus - 21, 27, 42, 68, 69, 72, 73, 84, 94, 95
- Velib' : stations n°1018, n°1017, n°1019.
Accès au Jardin des Tuileries
- Accès libre
- Horaires d'ouverture: Du dernier dimanche de septembre au dernier samedi de mars : tous les jours, de 7h30 à 19h30. Du dernier dimanche de mars au dernier samedi de septembre : tous les jours, 7h-21h. Juin, juillet et août : tous les jours, de 7h à 23h. L'évacuation du public commence 30 minutes avant l'heure de fermeture.
- Nocturne
Jusqu'à 23 heures en juin, juillet et août.
Address
Jardin des Tuileries
Place de la Concorde
75001 Paris
Tel. +33 (0) 1 40 20 53 17
https://www.louvre.fr
Coordinates | Latitude | Longitude |
Sexagesimal (°, ', ") | 48° 51′ 44″ N | 2° 19' 52″ E |
Degré décimal (GPS) | 48.86413 | 2.32831 |
Reservation
Fête des Tuileries - Entrée gratuite. Attraction payantes
- Horaires et tarifs
- Ouverture du 3 juillet au 30 août 2020 de 11h à 23h45. De 11h à 0h45 les vendredi, samedi et veille de jours fériés.
Exposition Jardins, Jardin aux Tuileries - entrée payante - du 08 juin 2022 au 12 juin 2022
Accueillant chaque année plus de 20 000 visiteurs, le rendez-vous Jardins, jardin aux Tuileries est devenu un incontournable de ce début du mois de juin. Situé au sein du jardin des Tuileries, à deux pas du Louvre et de la place de la Concorde, le salon présente une douzaine de jardins et une vingtaine de terrasses et balcons mis en scène par des professionnels. Les visiteurs peuvent ainsi trouver quelques inspirations pour l'aménagement de leurs extérieurs et échanger avec les jardiniers et paysagistes présents.
- Horaires : de 10h à 19h
- Tarif : 14€. Réduit : 10 € - Soirée Afterwork : 7€ (5 juin)
- Entrée gratuite : moins de 18 ans
Full description
Le Jardin-des-Tuileries séparent le jardin du Carrousel et le musée du Louvre d'une part de la place de la Concorde d'autre part. Ils sont un lieu de promenade et de culture fréquentés par les Parisiens et les touristes.
Le Jardins-des-Tuileries ont été "commencés" à partir de 1564, en même temps que le Palais dus Tuileries. A l'origine, ils étaient “à l’italienne” (Compartiments rectangulaires comprenant des plantations différentes, massifs d’arbres, quinconces, pelouses, parterres de fleurs, etc.). L’ordonnatrice était Catherine de Médicis, aussi d'origine italienne.
L'évolution du Jardin-des-Tuileries
A partir de 1664, le Jardin-des-Tuileries a été entièrement repensés par André Le Nôtre, le célèbre jardinier du roi Louis XIV qui s'était déjà illustré au château de Vaux-le-Vicomte pour Fouquet. Il leur donne l’aspect actuel de jardin à la française. Une fontaine, une ménagerie et une grotte décorée par le célèbre céramiste Bernard Palissy décorent le jardin. Dans les années 1605-1625 sont ajoutées une orangerie et une magnanerie. En 1716, un pont tournant piétonnier est installé pour rejoindre la place Louis XV (aujourd'hui place de la Concorde), en franchissant le fossé de l'enceinte de Louis XIII. Il est démoli en 1817. C'est en 1783 a lieu la première ascension de personnes dans un ballon à gaz. Une plaque, située aujourd'hui à droite en entrant dans le jardin, marque le souvenir de cet événement. Sous la Révolution, le Jardin-des-Tuileries est le témoin des grands événements dont le palais est lui-même le théâtre, notamment la prise des Tuileries le 10 août 1792. Le bassin rond est aussi utilisé pour la cérémonie de l'Être suprême le 8 juin 1794. On y place des effigies représentant l'Athéisme entouré de l'Ambition, de l'Égoïsme, de la Discorde et de la Fausse Simplicité. Maximilien de Robespierre y met le feu, dans une apothéose de cris et d'applaudissements. Le 10 octobre de cette même année, ce même bassin accueille le cercueil de Jean-Jacques Rousseau, drapé d'un drap parsemé d'étoiles (exhumé d'Ermenonville pour être porté au Panthéon). La rue de Rivoli est tracée au début du 19e siècle entre la rue de Rohan et la rue Saint-Florentin à l'emplacement notamment de l'impasse du Manège et des terrains occupés par les Dames-de-l'Assomption. Le Jardin-des-Tuileries s'agrandit alors au nord-ouest. Lors de l'aménagement du quai des Tuileries, un mur d'appui est bâti le long de la terrasse du Bord de l'eau, avec des pierres extraites des carrières de Châtillon. Aux angles occidentaux du jardin, Napoléon III fait construire deux bâtiments identiques :
- un jeu de paume au nord-ouest hébergeant de nos jours un musée d’art contemporain et de photographies, la galerie nationale du Jeu de Paume. Cette salle du Jeu de Paume n’a rien à voir avec le “serment du Jeu de Paume” de l’histoire de France, qui lui, se trouvait au château de Versailles
- une orangerie au sud-ouest. Aujourd’hui elle abrite un musée d’Art moderne, le musée de l’Orangerie, dans lequel nous pouvons voir les Nymphéas de Claude Monet, mais aussi les œuvres de la collection Jean Walter et Paul Guillaume. Voir notre article sur "Le Musée de l'Orangerie".
L'histoire en marche du Jardin des Tuileries
Au fil des des années, de nombreux autres événements ont eu lieu dans Jardin-des-Tuileries.
- Le palais des Tuileries est détruit par un incendie durant la Commune de Paris en 1871. Voir Post
- En 1877, la rue des Tuileries, l'actuelle avenue du Général-Lemonnier est ouverte à l'emplacement de la terrasse de l'ancien palais des Tuileries.
- En 1883, les ruines des Tuileries sont rasées, ce qui rend actuellement très difficile la compréhension des lignes et de l'esthétique du jardin des Tuileries pour les visiteurs non avertis de la présence de l'ancien palais. Le jardin du Carrousel est aménagé en partie à l'emplacement du palais disparu (en direction du Palais du Louvre). De ce fait, le Jardin-des-Tuileries est désormais visible depuis l'avant de la grande cour du Palais du Louvre. L'avenue du Général-Lemonnier ayant été partiellement enterrée, les deux jardins sont dans la continuité l'un de l'autre.
- A l’occasion de l’exposition universelle de 1878, Henri Giffard fit voler des milliers de personnes dans un ballon captif géant.
- Le 23 mars 1918, durant la Première Guerre mondiale, un obus lancé par le canon allemand La Grosse Bertha explose dans le Jardin-des-Tuileries. Le 28 mai 1918 un autre obus éclate près de la terrasse de l'Orangerie.
- Pendant la Seconde Guerre mondiale une partie des Jardins des Tuileries fut transformée en potager.
- Le 25 août 1944, le général von Choltitz, commandant du "Groß-Paris" y reçut un ultimatum de se rendre du colonel Pierre Billotte de la 2e DB. Après des combats violents, le capitaine Branet s’emparera de l’hôtel Meurice tout proche, rue de Rivoli et aussi quartier-général des forces d’occupation allemande.
- Le capitaine Julien empruntera la rue du Faubourg-Saint-Honoré, parallèle aux Jardins des Tuileries pour atteindre le siège de la Kommandantur, place de l’Opéra et de son côté le lieutenant Bricard nettoiera les Jardins des Tuileries. Ce furent des combats acharnés et les dix plaques commémoratives le long du Jardin-des-Tuileries à l’angle de la rue de Rivoli et de la place de la Concorde témoignent en partie du nombre de victimes.
De nos jours et depuis plusieurs années, une Fête foraine du Jardin-des-Tuileries a lieu entre fin juin à fin août dans le Jardin-des-Tuileries. L’entrée est gratuite, les attractions sont payantes (Plus de 80 attractions foraines dont 20 manèges). Egalement une grande exposition sur les jardins s'y tient chaque année début juin.
Les sculptures exposées dans le Jardin-des-Tuileries
Le Jardin-des-Tuileries, surtout dans sa partie orientale, comporte un ensemble d'œuvres classiques réalisées par des sculpteurs français :
- Entrée ouest, le fer à cheval :
Buste de Le Nôtre (48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 22″ E).
La Loire et le Loiret, Corneille Van Clève (1703-1707 ; 48° 51′ 53″ N, 2° 19′ 24″ E)
Le Nil, Lorenzo Ottoni (1688-1692 ; 48° 51′ 52″ N, 2° 19′ 24″ E)
La Seine et la Marne, Nicolas Coustou (1704-1712 ; 48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 25″ E).
Le Tibre, Pierre Bourdict (1685-1690 ; 48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 26″ E) - Est du Grand Bassin octogonal :
Agrippine, Robert Doisy (1658-1690 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 27″ E).
Annibal, François Girardon (1722 ; 48° 51′ 52″ N, 2° 19′ 30″ E)
L'Automne ou Vertumne, François Barois (1696 ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 28″ E)
L'Été, Guillaume Coustou (1726 ; 48° 51′ 53″ N, 2° 19′ 29″ E)
L'Hiver, Jean Raon (1710-1712 ; 48° 51′ 53″ N, 2° 19′ 29″ E)
Jules César, Nicolas Coustou (1722 ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 29″ E)
Le Printemps ou Pomone, François Barois (1696 ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 27″ E)
Véturie, Pierre Le Gros le jeune (1695 ; 48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 29″ E). - Terrasse du Jeu-de-Paume :
Lion, Giuseppe Franchi (48° 51′ 58″ N, 2° 19′ 24″ E). - Terrasse de l'Orangerie :
Le Baiser, Auguste Rodin (1886-1898 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 18″ E).
Ève, Auguste Rodin (1881 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 22″ E)
La Grande Ombre, Auguste Rodin (1880 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 22″ E)
Lion, Giuseppe Franchi (1806 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 18″ E)
Méditation, Auguste Rodin (1881 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 22″ E) - Terrasse des Feuillants :Lion et lionne se disputant un sanglier, Auguste Cain (1882 ; 48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 38″ E).
Monument à Jules Ferry, Gustave Michel (1906-1910 ; 48° 51′ 49″ N, 2° 19′ 52″ E).
Monument à Waldeck-Rousseau, Laurent Marqueste (1909 ; 48° 51′ 56″ N, 2° 19′ 30″ E).
Retour de chasse, Antonin Carlès (1888 ; 48° 51′ 49″ N, 2° 19′ 53″ E).
Rhinocéros attaqué par des tigres, Auguste Cain (1882-1884 ; 48° 51′ 55″ N, 2° 19′ 37″ E). - Terrasse du Bord-de-l'Eau :
Les Fils de Caïn, Paul Landowski (1906, terrasse du Bord-de-l'Eau ; statue ; 48° 51′ 41″ N, 2° 19′ 45″ E).
Lion au serpent, Antoine-Louis Barye (1832 ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 24″ E). - Grand Couvert :
Apollon, Paul Belmondo (48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 31″ E).
Jeannette, Paul Belmondo (48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 31″ E)
Monument à Charles Perrault, Gabriel Pech (1908 ; 48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 33″ E). - Exèdre Nord :
Atalante, Pierre Lepautre (1703-1705 ; 48° 51′ 49″ N, 2° 19′ 41″ E).
Faune au chevreau, Pierre Lepautre (1685 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 40″ E).
Hippomène, Guillaume Coustou (1712 ; 48° 51′ 49″ N, 2° 19′ 41″ E). - Exèdre Sud :
Apollon poursuivant Daphné, Nicolas Coustou (1714 ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 40″ E).
Daphné poursuivie par Apollon, Nicolas Coustou (1714 ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 39″ E).
Vénus callipyge, François Barois et Jean Thierry (1683-1686 ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 38″ E). - Grand Carré :
Diane à la biche, Guillaume Coustou (48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 44″ E).
Diane chasseresse, Edmond Lévêque (1869 ; 48° 51′ 45″ N, 2° 19′ 49″ E).
Flore Farnèse, Antoine André (1676 ; 48° 51′ 44″ N, 2° 19′ 39″ E)
Hercule Farnèse, Giovanni Comino (1670 ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 42″ E)
Jules César, Ambrogio Parisi (1694 ou 1713 ? ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 42″ E)
La Mort de Laïs, Mathieu-Meusnier (1850 ; 48° 51′ 43″ N, 2° 19′ 44″ E)
Nymphe, Edmond Lévêque (1866 ; 48° 51′ 45″ N, 2° 19′ 50″ E)
Tigre terrassant un crocodile, Auguste Cain (1869-1873 ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 51″ E).
Tigresse apportant un paon à ses petits, Auguste Cain (1873 ; 48° 51′ 43″ N, 2° 19′ 48″ E). - Grand Bassin rond :
Alexandre combattant, Charles-François Lebœuf (1836 ; 48° 51′ 45″ N, 2° 19′ 44″ E).
Le Bon Samaritain, François Sicard (1896 ; 48° 51′ 45″ N, 2° 19′ 45″ E).
Caïn venant de tuer son frère Abel, Henri Vidal (1896 ; 48° 51′ 46″ N, 2° 19′ 48″ E).
Cassandre se met sous la protection de Pallas, Aimé Millet (1877 ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 48″ E).
Le Centaure Nessus enlevant Déjanire, Laurent Marqueste (1892 ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 46″ E).
Cincinnatus, Denis Foyatier (1834 ; 48° 51′ 46″ N, 2° 19′ 43″ E)
La Comédie, Jules Toussaint Roux (1874 ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 45″ E)
Médée, Paul Gasq (1896 ; 48° 51′ 46″ N, 2° 19′ 43″ E)
La Misère, Jean-Baptiste Hugues (1905-1907 ; 48° 51′ 45″ N, 2° 19′ 47″ E).
Périclés distribuant des couronnes aux artistes, Jean-Baptiste Joseph Debay (1835 ; 48° 51′ 45″ N, 2° 19′ 46″ E).
Le Serment de Spartacus, Louis-Ernest Barrias (1869 ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 44″ E).
Thésée combattant le Minotaure, Jules Ramey (1821 ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 47″ E).
À l'angle de l'avenue du Général-Lemonnier et du quai Aimé-Césaire se trouve une statue de sphinge, dite " Sphinge de Sébastopol " (cf. ces deux articles pour son histoire).
La partie occidentale du Jardin-des-Tuileries, la plus proche de la place de la Concorde, comporte un ensemble d'œuvres contemporaines, installées principalement en l'an 2000 sous la direction d'Alain Kirili1 :
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- L'Ami de personne, Erik Dietman (1992 ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 40″ E).
- Arbre des voyelles, Giuseppe Penone (1999 ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 34″ E).
- Arcs de cercles complémentaires, François Morellet (2000, Jardin des Tuileries ; installation murale ; 48° 51′ 54″ N, 2° 19′ 22″ E).
- Le Bel costumé, Jean Dubuffet (1973/1998 ; 48° 51′ 56″ N, 2° 19′ 25″ E)
- Comptine, Anne Rochette (1999, groupe sculpté ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 31″ E)
- Confidence, Daniel Dezeuze (2000, Jardin des Tuileries ; installation ; 48° 51′ 47″ N, 2° 19′ 39″ E)
- Coup de chapeau II, Roy Lichtenstein (1996 ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 42″ E)
- L'Échiquier, grand, Germaine Richier (1959, groupe sculpté ; 48° 51′ 48″ N, 2° 19′ 35″ E)
- Force et Tendresse, Eugène Dodeigne (1996 ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 42″ E)
- La Foule, Raymond Mason (1963-1967, groupe sculpté ; 48° 51′ 55″ N, 2° 19′ 29″ E)
- Galatea, Roy Lichtenstein (1990 ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 42″ E)
- Grand Commandement blanc, Alain Kirili (1986, groupe sculpté ; 48° 51′ 51″ N, 2° 19′ 21″ E)
- Grande Femme II, Alberto Giacometti (1959-60 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 29″ E)
- La Grande Musicienne, Henri Laurens (1937 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 29″ E)
- Manus Ultimus, Magdalena Abakanowicz (1997 ; 48° 51′ 49″ N, 2° 19′ 40″ E)
- Microbe vu à travers un tempérament, Max Ernst (1964 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 29″ E).
- Personnage III, Étienne Martin (1967, groupe sculpté ; 48° 51′ 52″ N, 2° 19′ 31″ E).
- (Placé) sur un point fixe (Pris) depuis un point fixe. n° 717, Lawrence Weiner (2000, Jardin des Tuileries ; installation murale ; 48° 51′ 55″ N, 2° 19′ 30″ E).
- Primo Piano II, David Smith (1962 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 29″ E)
- Figure couchée, Henry Moore (1951 ; 48° 51′ 50″ N, 2° 19′ 25″ E)
- Femme debout, Gaston Lachaise (1932 ; 48° 51′ 49″ N, 2° 19′ 40″ E)
- Les Mains accueillantes, Louise Bourgeois (1996, groupe sculpté ; 48° 51′ 55″ N, 2° 19′ 22″ E).
Note : Œuvres du Jardin des Tuileries déplacées en d'autres lieux:
- Brushstroke Nude, Roy Lichtenstein (1993).
- Le Cri, Chaim Jacob Lipchitz (1928-1929)
- Sans titre, Ellsworth Kelly (1988)
Et pour vous rafraichir au Jardin-des-Tuileries ?
6 restaurants ou cafés sont répartis dans le Jardin des Tuileries:
- Rosa Bonheur la Crêperie - en bordure de la Place de la Concorde
- Petit Farmers - près du Grand Bassin - environ au centre des Tuileries
- Café des Marronniers ( ouvert du lundi au dimanche de 7h - 21h) -près du Grand Bassin
- Petit Plisson des Tuileries - environ au centre des Tuileries
- Terrasse de Pomone - environ au centre des Tuileries
- Le Pavillon des Tuileries (Déjeuner 10h30-17h et Dîner 17h-19h) - près du Grand Bassin La Terrasse de Pomone (ouvert toute l'année selon les horaires du Jardin des Tuileries) - environ au centre des Tuileries
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